Découverte

Apres avoir pris conger d'Eden et de Saphyr, Pharaun se dirigea a l'Est, quelque chose dans son instinct semblait l'y pousser...

Il aperçut la porte de Basalte, se dressant haut dans le ciel, sa cime semblant déchirer se dernier de part en part.Il décida de sa raprocher, il trouvais la porte envoutante, des moulures anciennes se dessinais encore dans les auteurs et les etudiants, Pharaun fu troubler de voir que certaines d'entres elles narrait lhistoire de sa déesse la reine araignée.

Il examina alors les alentour de la porte avec attention puis examina la porte d'ou émanais une légère lumière rougeatre.

Touchant la pierre de ses doigts, il compris que c'étais du sang, sec par endroit et encore humide a d'autre. Troubler par se lieu mysterieux, il décida d'allumer un feu de camp de de monter un bivouac improviser pour la nuit.

" Qui sais, mon feu de camp attirera peu être quelqu'un qui pourrais me renseigner sur la nature de cette endroit... ou alors il atireras quelque ennemis...dans n'importe quel cas sela rompras la monotonie de se voyage..."

Saphyr avait marché quelques heures, tentant vainement de générer quelque hypothèse sur la façon dont elle s'était retrouvée dans cet endroit bizarre. Les deux seules âmes qu'elle ait croisées étaient vêtues de tenues de guerre, chose qui l'intriguait. La jeune fille baissa les yeux sur son jean Armani, déchiré par endroits par les ronces de la forêt, tout comme son chandail Dior.

* Je devrais peut-être envisager de me trouver des vêtements semblables aux leurs... *, pensa-t-elle.

Arrivant au sommet de la montagne, elle aperçut la lueur d'un feu de camp. Elle se mit à courir vers le bivouac, puis se pencha à l'intérieur en disant :

- Salut !!! Je suis perdue, et carrément gelée ! Accepteriez-vous de me laisser partager votre abri pour la nuit? S'il vous plaît...

La jeune sorcière resta sans mots lorsqu'elle distingua dans la prénombre les traits de Pharaun Myrzim.

Le drow parus tout aussi stupéfais que la sorcière en la voyant débouler dans son abris.

" Encore elle?!? eh bien ..."

Il la regarda et sourit devant son air hébété.

-Dame Saphyr prenez donc place, je serais plus que ravis de vous accueillir dans mon modeste bivouac! Que me vaut donc l'honneur de la visite de votre charmante personne?

Tout en disant cela, le drow versait un vers de vin a la sorcière et le lui tendit, se mefiant toute fois de ne pas tropl'aprocher, se rappelant le mauvais tour cuisant dont il avais été la victime.

Il soupira et alla lui même prendre place sur un siege improviser en face d'elle.

Saphyr attendit quelques secondes avant de prendre le verre que lui tendait le jeune homme. Elle envisagea de se lever et partir, mais abandonna, se disant qu'elle ne trouverait sûrement aucun autre endroit où passer la nuit, et qu'elle n'avait aucune forces pour fabriquer son propre bivouac.

Elle prit le verre, d'une main délicate et tremblante, puis le déposa devant elle avant d'y déposer quelques gouttes d'une potion qu'elle avait sortie de son sac. Voyant l'expression étonnée de Pharaun, elle répliqua avec un sourire en coin :

- C'est un anti-poison. Juste au cas où...

Elle porta la coupe à ses lèvres, puis murmura :
- Avant que vous ne vous fassiez quelque illusion, très cher, je tiens à préciser que si je reste ici... c'est bien parce que je ne connais absolument rien de cet endroit et que je le quitterai dès que possible.

Le mage parut blesser lorsque Saphyr posa son anti poison dans le verre.

" Elle ne me fait toujours pas confiance...? C'est surement a cause de mon origine... je ne peu qu'approuver sa mefiance a mon egard qui est en somme toute louable même si elle fait mal..."

Il fit ensuite la grimace en entendanles dernier propos de son inviter.

- Ma présence vous irrite a ce point que vous désirié me fuir de cette façon? Je ne me fais pa la moindre illusion sur les vos motivations a rester dans mon abris et il est ainsi inutil de me fustiger de la sorte...

Le drow se cala das son siege et devint silencieux

Saphyr eut un léger serrement au coeur en entendant les propos de son hôte. Peut-être l'avait-elle mal jugé... Après tout, il aurait bien pu la laisser se débrouiller seule, dans la nuit glaciale! Se mordant la lèvre, la jeune fille réfléchit à la façon de se sortir de cette situation pour le moins gênante.

Levant brusquement les yeux, elle posa son verre de vin, puis se leva. Elle avança vers Pharaun, puis contre toute attente, le serra dans ses bras et déposa un léger baiser sur sa joue en murmurant :

- Désolée, Pharaun... Je ne voulais point vous offenser en quoi que ce soit...

Pharaun s'imobilisa en sentant le baiser de Saphyr sur sa joue. Il la regarda en souriant et bafouilla quelque instant et baissa finalement la tete.Il finit par la lever et dit doucement

- Ce n'est rien j'ai l'habitude de toute fa'on ne vous inquiété pas... Cela fait bien longtemps qu'aucune créature n'aais manifester de l'affe...je veu dire du remord a mon egard et je dois avouer que sa fait bizare!

Soudain il tressaillit en se rendant compte qu'il tenait Saphyr par les hanches. Il la lacha délicatement, espérant que celle ci ne s'était aperçu de rien

Saphyr baissa les yeux vers les mains de Pharaun, puis les releva vers lui en souriant d'un air moqueur. Elle ne fit cependant rien pour les enlever.

- Disons que... Je croyais que vous détestiez tout autant! Il fallait bien que je me défende..., dit-elle en guise d'explication.

La jeune sorcière frissonna, sentant l'air glaçé de la nuit passant au travers de l'entrée du bivouac. Elle se leva brusquement et s'éloigna du mage, sortant à l'extérieur. Pharaun la suivit des yeux.

Sentant le froid nocturne passer au travers de ses vêtements en loques et le vent sifflant contre sa peau, Saphyr ferma les yeux et parut se concentrer quelques secondes, tendant les mains devant elle.

Une forme azurée, phosphorencente se forma lentement dans la noirceur, laissa place à une vaste tente d'épaisse toile. Satisfaite mais totalement épuisée, Saphyr se retourna, puis murmura :

- Voilà... Ça sera sûrement plus chaud qu'un bivouac... Mais maintenant je suis vidée... C'est la première fois que je matérialise quelque chose de cette taille...

Puis elle s'effondra au sol.

Le mage regarda la tente se matérialiser d'un être impressionner.

" Elle a vraiment beaucoup de talent... Mais elle n'a même plus la force de se relever..."

Il souleva délicatement Saphyr du sol et l'emmena dans sa tente. Il la dépose tout aussi délicatement dans uen couche puis se mit lui même a incanter.

" Il lui faut des vètement décent, les siens sont en loques, elle va atraper quelque mal...Alors quelle type de vêtement lui donner...?Oh je sais!"

Un jupe longue de soie elfique se matérialisa. Elle était légère et s'adaptait a la tempréature extérieur en se réchauffant ou en se refroidissant.
Il lui fi également apparaitre une cape bleu uit finement ouvrager et sertie a certain endroit de petit emeraudes. Possédant quelque enhantement drow, elle lui permetrait plus tard de se mouvoir sans bruit et de se dissimuler dans l'ombre.

Pharau paraissait satisfait et se dirigea en direction de la sortie. il fit cependant volte face et s'assit sur une chaisse qu'il déposa entre l'entré et le lit de la Sorcière.

" Je vais monter la garde. Elle est épuiser et j'igore quel genre de créature rôdent dans les parages..."

tout e pensant a cela, il ne cessait de jeter des regard inquiet a Saphyr qui dormait.

Saphyr était tellement épuisée qu'elle dormait d'un sommeil sans rêves, un sommeil agité. Elle bougeait en tous sens dans le lit en gémissant et en délirant. Elle disait de la laisser tranquille, qu'elle n'avait rien fait.

- NON!!! LAISSEZ-MOI TRANQUILLE, ARRÊTEZ!!! JE VOUS JURE QUE CE N'EST PAS MOI!!!

Il se retourna brusquement et se précipita sur elle. Il la pris par les épaules et faillit recevoir une violente gifle.

" Diable! Mais que lui arrive t'elle?"

Il la secoua légèrement afin de la réveiller mais ne pus éviter un coup de pied au creux de la cuisse.

Se tordant de douleur, il s'acrocha a ses épaule et la secoua plus fort, jusqu'a se que ses yeux s'ouvre et qu'elle s'éveil enfin de son cauchemard.

Se redressant dans le lit, couverte de sueur, Saphyr remarqua que la tente semblait avoir été aux prises avec une véritable tornade. Tout était sans dessus-dessous. Elle comprit, en jetant un coup d'oeil à Pharaun, assis sur le plancher, qu'elle venait de faire un autre de ses terribles cauchemars, comme elle en avait l'habitude de faire depuis qu'elle était partie.

Voyant qu'elle avait frappé le jeune homme sans le vouloir, elle murmura un très simple:

- Je... Désolée, Pharaun...

Saphyr sentit une larme rouler le long de sa joue, puis venir s'écraser dans son cou.

Pharau perdit contenca en voyant la tristesse sur le visage de Saphyr. Il n'hésita cependant pas et il se releva pour prendre la magicienne dans ses bras et la serrer doucement pour lui murmurer:

-Ne t'en fais pas, je n'ai rien de grave et je vais remetre de lordre dans ta tente... Tu vas bien...?

Le mage se surprit a s'inquiété réellement de l état de Saphyr.

La jeune sorcière essuya son visage de sa manche déchirée, puis hocha la tête. Elle devait tout oublier. Le passé était du passé. Elle se leva, puis chancelante, abandonna puis s'assit sur le rebord du lit. Elle murmura faiblement :

- ...Merci. Merci de m'avoir aidée. Je... On nettoiera tout ça demain matin... même si c'est dans quelques heures..., ajouta-elle en affichant son éternel sourire narquois.

Elle se laissa tomber sur le dos, puis regarda son protecteur dans les yeux, d'un regard triste et implorant.

- Tu... Tu veux rester avec moi, cette nuit? S'il te plaît...

Le mage se troubla. Non pas a cause de se que lui demandais Saphyr, mais il était impressioner.

" Elle a toujours se ton narquois même lorsqu'elle ne vas pas bien..."

Il sourit et l'aida a se recoucher puis lui dit:

- Je euh...Oui... je vais rester avec toi..de toute façon je n'avais pas l'intention de te laisser! Il y a peu etre des dangers qui rode la dehors,et puis... tu es epuisé et tu as besoin de dormir, je vais donc monter la garde et veiller sur toi ne t'inkiete pas...

Saphyr lui sourit, reconnaissante. Elle pointa vers l'autre bout de la tente, indiquant un second lit.

- Vas-y... Tu as besoin de dormir, aussi... C,est à cause de moi, qui suis arrivée à l'improviste, que tu as perdu tant de temps de sommeil...

Pour la seconde fois dans la soirée, elle le serra dans ses bras, suivant son impulsion. Prenant conscience de son geste, elle lâcha le jeune homme, observant son expression.

Pharaun semblait tétaniser, ses muscles refusant de répondre au ordre de son esprit. Il regarda la sorcière et son regard il le sentait devait aoir quelque chose d'étrange.

- Non, il en vas de ta sécurité. Et puis je suis habitué a ne pas dormir, cela ne me fera pas de mal ne t'en fais pas.

Tout en disant cela, il n'avais ait aucun geste pour se lever et rejoindre son poste d'observatio improviser.

" Bon sang mais qu'est ce que je fais? Il faut que j'aille monter la garde moi!"

Il finit par se lever lentement et avec raideur et se dirigea d'une démarche raide a son siège situer devant l'ouverture de la tente.

Saphyr tenta de se lever pour l'empêcher de passer la nuit debout, mais elle ne parvint même pas à se lever. Elle s'endormit aussitôt, en murmurant à Pharaun que c'était insensé, qu'il devrait plutôt dormir...

Le lendemain matin, requinquée, Saphyr se leva et sortit de la tente, la fraîcheur de la rosée matinale la frappant de plein fouet. Elle frissonna, puis se retourna vers le jeune mage en souriant.

- Salut...!, dit-elle en s'étirant langoureusement.

Pharaun lui sourit. Il le sentait au fond de lui, il était dans un état lamentable. Il se sentait épuisé, a bout de force, il se forçais même a tenir debout devant Saphyr, même s'il en ignorait la raison.

Il venait de passer le reste de la nuit a la regarder dormir et a se demander ou elle partirai le lendemain et s'il la reverais jamais un jour en se monde étrange... tout en gardant une partie de son esprit concentrer sur la tache de la garde evidement.

Il s'appuya a la tenture de la tente en se redressant afin de ne pas tomber et de ne pas dévoiler sa fatiguer a la sorcière.

- Bonjour Saphyr, j'espère que ces quelques heures de sommeil ton rétablis!

Une ecchymose se dessinait sur sa jambe a l'endroit ou la magicienne l'avait fraper accidentellement la veille. La blessure le lançais, mais le mage s'en formalisait .

Saphyr voyait bien que Pharaun tenait à peine debout, cramponné aux parois de la tente. Simplement, elle savait que dans son grand orgueil masculin, il refuserait de l'admettre. Baissant les yeux, la jeune femme aperçut un énorme bleu sur sa cuisse, qu'il tentait de dissimuler.

- C'est... C'est moi qui t'ai fait ça?, bafouilla-t-elle, en rougissant.

Levant ses grands yeux bleus vers lui, elle vit qu'il ne répondit pas.

* ...Ça veut dire que oui. *, pensa-t-elle, se remmémorant la scène de la nuit dernière.

Piteuse, elle s'approcha de lui, puis murmura doucement au creux de son oreille :

- Pharaun... Je suis désolée... Viens, je vais te concocter une potion guérisseuse à appliquer là-dessus. Désolée... Tu me pardonnes?

Le mage la regarda, ses yeux rouge vif était voiler par la douleur et la fatigue. Il aquiesca d'un signe de tête qui semblait lui couter beaucoup.

- Une potion de soin? Je veut bien Dame Saphyr j'avoue que cela me ferait le plus grand bien.

" Mince...je n'ais plus la force de tenir debout...de toute façon, elle n'est pas comme les autre et a surement remarquer mon état de faiblesse...je doit lui paraitre ridicule! "

Sur cette penser tres encouragente a son egard, le mage se laissa tomber au sol en renversant le siege ou il avait veiller toute la nuit

Voyant son ami s'effondrer au sol, Saphyr prit son sac avec empressement. Elle en sortit des ingrédients nécessaires à la guérison du mage noir.

* Voyons... Quelques gouttes de phnénolphtaléine, quelques-unes d'orange de méthyle, une ou deux goutelettes de ça aussi... *

Ses mains délicates mélangeaient les substances avec habileté, malgré leur tremblement gênant. Parfois, quelques gouttes de substance tombaient sur les manches de son chandail, venant y brûler un trou, accompagné d'une odeur de brûlé et d'un crépitement sifflant.

Finalement, la potion émit une fumée fuschia, signifiant qu'elle était prête. Se baissant sur Pharaun, Saphyr entrouvrit les lèvres du sorcier et y versa le contenu de la fiole.

Soupirant de soulagement, elle relâcha tout le stress s'étant accumulé en elle depuis le début. La jeune sorcière s'étendit aux côtés de son protecteur, regardant le lever du soleil qui surplombait la montagne aux portes de basalte. Après quelques minutes, elle ferma les yeux et s'assoupit, la tête posée contre la poitrine de son ami.

Pharaun se réveilla brsquement, sentant la chaleur du soleil sur sa peau. Il étira ses long bras d'ébène et remarqua Saphyr qui dormait sur sa poitrine.

Il se sentait mieu, ses lésions avait disparut,et il se sentait totalement reposer. Malgré le soleil qu'aucun membre de sa race ne pouvait réellement suporter apres des année passer dans la fraicheur d'ombre terre, il décida de rester allonger pour ne pas réveiller la magicienne.

Il passa quelque temps a passer ses doigts dans ses long cheveux brillant, puis finit par voir l'état de ses vétements.

" Elle n'as pas mit ceux que je lui ait conjurer? redoute t'elle un piège ou a t'elle simplement oublier? "

Il fit un mouvement sec malgrés lui, son bras réagissant de lui même a la chaleur brulante du soleil. Il avait tenter de réprimer se geste mais en vain. Il regarda donc légèrement atristé Saphyr s'éveiller.

La jeune sorcière, sentant un mouvement brusque, sortit de son sommeil qui avait été, il faut le dire, plus calme et reposant cette fois-ci. Relevant la tête, elle prit conscience de la position dans laquelle elle se trouvait, puis se releva brusquement.

Ayant sauté sur ses pieds, elle passa la main dans ses cheveux, leurs reflets bleus miroitant au soleil. D'un air embarrassé, elle dit en rougissant légèrement :

- Désolée... Me suis endormie! Faut pas m'en vouloir... J'étais confortable!?ajouta-t-elle avec un sourire moqueur. ...Alors! Qu'est-ce qu'on fait?, demanda-t-elle, passant ses doigts dans sa longe cascade de cheveux d'ébène, l'air encore toute endormie.

Le mage souris et imita l'air moqueur de la sorcière.Il dit d'un air joyeux:

- Asser oui! Je devrait peu être t'emmener dans mes bageges,j'ai perdu mon oreiller...

Il s'étira et rentra dans la tente. Il en ressortit quelque instant plus tard avec les habit qu'il avait crée, les déposa devant Saphyr et lui dit d'une voix douce:

- J'ai remarquer que tes vetements qui d'ailleur ne vont pas vraiment avec ce monde étrange, était plus que...raépiécé. J'ai donc juger bon de t'en créer d'autre par magie. Ils possèdent certaine capacité chère a ceux de ma race, et, a l'inverse de la plupart de mes invocation, je puis t'assuré qu'il ne te mordrons pas...

Le mage se retourna pour laisser a Saphyr le loisir de metre ses vêtements.