Ailèc arriva devant l'entrée du territoire de son peuple. Il faisait nuit et la lune éclairait sa silhouette fine, suivie de près par son loup. Elle marqua un temps d'arret pour contempler la voute formée par les 2 immenses arbres, puis s'avança pour entrer chez les siens.
*Je n'aime avoir un foyer fixe, mais revenir chez soi est tout de meme agréable*
Heru, comme toujours narquois se contenta d'une petite réplique taquine à l'intention de sa compagne de route
-Alors, Ailèc, on se sent d'un coup moins voyageuse, non?